Opération pop-corn : mars 2016

The Great Debaters

On a aimé : le contexte de la Ségrégation dans les états du sud des Etats-Unis, les scènes de débat qui rythment le film, les couleurs du sud dans l’accent de Samantha Booke

On a moins aimé : la longueur de certaines scènes, un peu trop moralisateur et bien pensant à notre goût

En bref: un bon divertissement, pas un film marquant (nettement moins que Mississippi Burning); manque peut-être un peu de profondeur mais a le mérite d’être accessible.

A défaut d’une bande-annonce sous-titrée, voici un extrait plutôt représentatif:

 

Hail, Caesar!

On a aimé : la plongée dans le cinéma hollywoodien des années 50 (décors à la Broadway, jolie garde-robe et cigarettes au bec), la bande-son, Alden Ehrenreich en cow-boy plus vrai que nature

On n’a pas aimé :  une intrigue qui sert seulement de prétexte au film et n’a aucun intérêt en soi, de nombreuses références pour lesquelles il nous manque parfois les clés

En bref: Un film peu accessible au grand public

Opération pop-corn: février 2016

 

The Good Lie

On a aimé : « inspiré d’une histoire vraie », la résonance avec la crise des migrants que l’on connaît, les multiples touches d’humour à-propos, se laisser émouvoir au point de verser une petite larme

On a moins aimé : On cherche encore…

Attention, prendre ce film pour ce qu’il est: non, ce n’est pas du grand cinéma, oui, il vaut malgré tout la peine d’être vu!

 

Les nouveaux sauvages (Wild Tales)

On a aimé (et moins aimé à la fois): pas 1 film mais 6 nouvelles, inconventionnel, sombre, drôle, brutal, surprenant, dérangeant

 

Mes meilleures amies (Bridesmaids)

Autant dire tout de suite que PapaV n’a pas souhaité que je l’attende pour regarder ce film, aussi je parlerai en mon nom uniquement…

Je n’ai pas aimé: une comédie pauvre (ça, on pouvait s’y attendre) à l’humour « pipi-caca » (n’ai ri à aucun moment…), un scénario attendu (évidemment), perdre 2h05 de ma journée

Note à moi-même: la prochaine fois, je regarderai sûrement la bande-annonce 2 avant d’appuyer sur « play »

Bande annonce officielle

Bande annonce 2

Nouveau: Quand le rat rencontre le ver

Saviez-vous qu’en anglais un rat de bibliothèque n’est autre qu’un « bookworm » c’est-à-dire un ver des livres? Nous on aime ça les livres, en papier, en carton, sur tablette, avec ou sans images, en français ou en anglais. On a donc décidé de faire rencontrer le rat et le ver pour vous faire partager nos petites aventures littéraires.

 

Au rayon petits rats: Julia Donaldson & Axel Scheffler

Si vous ne connaissez pas déjà leurs best sellers, ruez-vous dessus! Version carton ou papier, Gruffalo et tous ses amis sortis de ces livres deviendront rapidement LES histoires incontournables du soir. Montrez, mimez, exagérez, même si vous n’êtes pas un conteur né, les mots sont déjà là pour vous aider! Et quand vous aurez lu 50 fois l’histoire de Gruffalo, vous pourrez même vous passer du livre et vous surprendre à faire revivre l’histoire de mémoire (note à moi-même: ne jamais perdre une occasion de lutter contre Alzheimer!).

A notre actif: Gruffalo (of course!), Petit Gruffalo, La sorcière dans les airs, Un géant vraiment très chic

Et si vous comptez améliorer votre anglais, c’est l’occasion, ces livres sont truffés de vocabulaire et de rimes!

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Au rayon polars: La trilogie Ecossaise (Peter May)

Si les descriptions des paysages et des ambiances de ces bouquins ne suffisent pas à vous donner envie de partir dans les Hébrides extérieures à la découverte de l’île de Lewis et Harris, munissez-vous du livre de photos du même auteur qui vient illustrer la trilogie.

Vous commencerez l’aventure par un petit lexique et quelques conseils de prononciation, comme une mise en bouche pour mieux apprécier la suite.

Puis vous entrerez dans l’univers de Fin Macleod, enfant de l’île parti vivre la vie urbaine d’Edimbourg.

Appelé sur le rocher pour rendre justice aux cadavres récemment découverts, Fin replonge dans son enfance et découvre les secrets qui font de ce bout de terre battu par les vents un lieu de mystère unique en son genre.

Six mois d’Ecosse

L’adage dit qu’on s’habitue à tout et il semble se vérifier. Après 6 mois ici, tu te dis que tu es bien intégré (mais pas forcément toujours bien adapté) quand :

  • 8h -> Il gèle
  • 9h -> La météo annonce un grand beau Soleil
  • 12h -> Le Soleil est là éblouissant et chauffant et que même bébéV se plaint d’avoir mal aux yeux
  • 16h -> Il neige
  • Et que tu n’es pas du tout étonné…